L'automne rend créatif, par moment très heureux ou bien mélancolique. Pour moi, c'est une gouffre qui nourrit mon imagination (et mon Vata of course). J'apprécie beaucoup cette saison qui me fait remplir mes carnets de poésie à l'écriture illisible, tant la main est vire pour suivre les pensées incessantes et rapides. Croire avec crédutlité, La densité semble soufflée, Et le temps emmelé, Se confond entre présent et passé. Ce sont des échos, Des notes atonnes, Qui pourtant résonnent Comme un adagio. Et je valse, je me laisse portée, Mais c’est à présent un pas de deux; Nous connaissons le pas et la cadence, Car ce deux fut un dans un temps oublié. Et si les souvenirs semblent érodés, La mémoire de l'âme elle sait; Elle vibre, vibre, sans s’arrêter, Pour ramener ensemble ce qui fut séparé
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